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En 1944, sur les ruines encore fumantes d'une Europe ravagée par un conflit qui se solde par la mort de plus de 50 millions de victimes, une autre guerre commence, sourde, rampante.
Une guerre de l'ombre et des coups tordus. Une guerre où vont s'affronter ces deux grands blocs que sont l'Est et l'Ouest : l'URSS
et ses satellites, d'un côté, les États-Unis et ses alliés, de l'autre.
On l'appellera la " Guerre froide ", celle du renseignement, de la désinformation. Celle des soldats anonymes.
En France, la DST sera en première ligne, que ce soit face au KGB, au GRU ou aux services du bloc de l'Est, jusqu'à la chute du mur, en 1989. Créée en 1944, la DST part de zéro : les archives de l'ancien Contrôle général de la Surveillance du Territoire ont été détruites à l'arrivée des Allemands, quatre ans plus tôt. Il lui faudra vingt ans pour s'en relever. Ce qui ne l'empêchera pas de remporter quelques beaux succès qui permettront l'expulsion au total d'une centaine d'officiers soviétiques, sans compter leurs collègues des pays " frères ".
Pour la première fois, ce livre raconte sans détour les difficultés rencontrées par ces fonctionnaires français de la DST, ces " contre-espions ", ces hommes et ces femmes dont certains sont tombés au champ d'honneur sans que leurs noms ne soient jamais gravés sur un monument aux morts.

 

La DST sur le front de la Guerre Froide

21,00 €Prix
  • Raymond Nart, Jean-François Clair, Michel Gérin

    Les auteurs sont tous les trois inspecteurs généraux honoraires de la Police nationale et anciens de la DST.

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